Le classement de ton école de commerce : un tremplin… mais pas une fatalité

Ce que le classement change concrètement

Soyons clairs : plus ton école est bien classée, plus certaines portes sont faciles à ouvrir.
Et ce, dès la recherche de stage ou du premier emploi.

Pourquoi ?

• Les entreprises les plus sélectives (grands cabinets de conseil, M&A, private equity, cabinets d’audit prestigieux…) font souvent un premier tri basé sur l’école d’origine. Les Parisiennes (HEC, ESSEC, ESCP) et les écoles du top 5-6 bénéficient d’un screening automatique.

• Les grilles salariales peuvent varier selon le rang de ton école, notamment dans les métiers de la finance, du conseil ou du luxe.

• Le réseau d’anciens élèves est généralement plus actif et plus influent dans les écoles les mieux classées, ce qui facilite les introductions, les cooptations, les opportunités cachées.

Bref : le nom de ton école peut t’ouvrir des portes. Plus ton école est “haut de gamme”, plus les options à court terme sont nombreuses.

Mais ce n’est pas une fatalité pour les autres

Heureusement le classement ne dicte pas ta trajectoire pour les 40 prochaines années.

Chaque année, des étudiants issus d’écoles moins bien classées parviennent à intégrer les entreprises les plus sélectives, à condition de :

• faire les bons choix de stages,

• construire un vrai réseau professionnel,

• oser postuler, et ne jamais se censurer,

• développer des expériences concrètes et différenciantes.

Certains diplômés de “petites” écoles ont des parcours plus brillants que certains HEC. Pourquoi ? Parce qu’ils ont exploité à fond leurs années d’études, alors que d’autres se sont reposés sur le prestige de leur école.

La vraie question, c’est : qu’est-ce que tu vas faire de ton école ?

Le classement est un levier. Pas une garantie.

Ce qui compte vraiment, c’est ce que tu fais pendant tes années d’études :

• Les stages que tu décroches (et dans quels secteurs)

• Les personnes que tu rencontres (professeurs, intervenants, alumni)

• Les projets que tu mènes (associatifs, entrepreneuriaux, personnels)

Tu peux être dans le top 3 et passer à côté de tout.
Tu peux être dans le top 20 et faire exploser ton potentiel.

Conclusion : viser haut, agir intelligemment

Oui, le classement de ton école a un impact.
Il faut en tenir compte quand on construit son projet.

👉 Mais ce qui fera vraiment la différence, ce n’est pas le rang de l’école sur un tableau Excel.
C’est ta capacité à te donner les moyens d’aller le plus loin possible, avec les cartes que tu as en main.

💡 Chez Objectif Sup de Co, on t’aide à construire une stratégie d’orientation ambitieuse et réaliste, pour viser le plus haut possible… tout en préparant un parcours solide, quel que soit le nom de l’école sur ton CV.